Le monde des makers et l'entrepreneuriat

L’étude de l’UT Arlington et son Fablab se concentre sur des compétences transversales, nécessaires à tout projet qu’il soit lié à la technologie ou non. Tu pourras donc trouver les compétences clés dans les domaines de la communication, de la collaboration, de la pensée critique, du design thinking, et de la gestion de projet !

Bien que cette liste de compétences devait principalement servir dans l’enseignement comme une sorte de programme destiné au corps enseignant, nous pouvons en tirer beaucoup de choses en tant que maker, prototypeur et porteur de projet ! Cette liste de compétences peut, entre-autres te servir de guide / canevas tout au long du développement de ton projet.

Voici sans plus tarder, cette liste développée par l’UT Arlington et son Fablab. Il s’agit ici d’une traduction de leurs résultats.

• Reconnaitre un besoin non satisfait par une solution existante qui peut être comblé par une fabrication (de type maker)
• Bricoler et hacker pour apprendre comment les choses sont fabriquées et comment elles fonctionnent
• Évaluer les couts et bénéfices d’une approche Maker en tant qu’alternative à l’achat ou à la location
• Mener une recherche sur l’approche que d’autres ont mené dans des situations similaires

• Définir l’idée, la question et / ou le problème
• Subdiviser l’idée, la question et / ou le problème en ses parties constitutives
• Questionner les suppositions faites à l’encontre de cette idée, question, problème

• Rassembler des informations venant des parties prenantes et des pairs
• Faire des recherches sur les produits ou idées pertinent.es et déjà existant.es
• Opérer un brainstorming pour trouver une variété de solutions et poursuivre la plus prometteuse
• Évaluer les couts et bénéfices d’utiliser des pièces déjà existantes (qu’on peut facilement trouver dans le commerce) en rapport avec la création de pièces à partir de rien

• Rechercher une formation ou un écolage et des informations sur les équipements et matériaux potentiellement dangereux
• S’assurer de l’applicabilité des standards techniques et des normes de sécurité
• Porter un équipement personnel de sécurité approprié quand c’est nécessaire
• Renforcer les précautions de sécurité avec les autres
• S’habituer à repérer les dispositions spécifiques à n’importe quel lieu en terme de procédures d’urgence, de sorties de secours, et de plans de désastre
• Appliquer les procédures de sécurité dans l’éventualité où une personne serait incapacitée ou blessée
• Pouvoir transférer les informations reçues lors de formations à des contextes plus larges

• Faire des recherches sur des équipements et des matériaux variés pour en déterminer les limites et leur adéquation pour une application spécifique
• Choisir les outils et matériaux les mieux adaptés au travail en cours
• Acquérir les bons outils et matériaux
• Rechercher des alternatives en outils ou matériaux si ceux initialement choisis venaient à manquer
• Fabriquer les outils nécessaires, réévaluer les matériaux choisis, développer des workflows alternatifs, et/ ou revoir l’ampleur [scope] du projet lorsque des alternatives aux outils / matériaux ne sont pas disponibles

• Déterminer une méthode de prototypage la mieux adaptée au projet
• Se familiariser avec les technologies et processus requis à la mise en place du prototypage
• Spécifier un cahier des charges (contenant notamment les requis techniques) pour le prototype et le produit final
• Subdiviser le design global en composants individuels pour les tester plus facilement en fonction de leur cahier des charges spécifique
• Documenter le processus de design

• Appliquer des critères mesurables pour déterminer si le projet rencontre les besoins identifiés
• Revoir et modifier le prototype sur des itérations mutliples
• Rassembler des feedbacks sur le prototype auprès des parties prenantes et des mentors / guides
• Retravailler le prototype en fonction de ces retours
• Prendre des risques calculés, utiliser des processus d’essais et d’erreurs, et apprendre des « échecs »

• Identifier qui sont les parties prenantes
• Spécifier des objectifs et exigences mesurables et réalisables pour le projet
• Utiliser des outils de gestion du temps et de projets
• Définir les étapes clé du projet en incluant les actions subsidiaires
• Dégager du temps pour des itérations supplémentaires
• Travailler dans les contraintes du projet (financières, temporelles, spaciales,…)

• Reconnaitre les opportunités de collaborer avec des gens qui apportent d’autres expertises et perspectives
• Estimer les couts et bénéfices de travailler seul par rapport au travail collaboratif
• Recruter des membres qui ont des compétences diverses et complémentaires pour mener à bien les exigences du projet
• Rejoindre une équipe où tes compétences sont recherchées et reconnues
• Soliciter des conseils, des connaissances et des compétences particulières auprès d’experts

• Écouter les autres
• Apprendre des autres et avec eux
• Communiquer avec respect et clarté avec les membres de ton équipe et les parties prenantes
• Assurer le suivi des engagements de l’équipe et des responsabilités
• Veiller à la responsabilisation personnelle et collective
• Évaluer les contributions au succès de l’équipe

• Formuler le jargon technique et des Makers pour qu’il soit compréhensible par des non-spécialistes
• Documenter chaque étape clairement et de façon suffisamment détaillée pour permettre aux autres de suivre et de répliquer les workflows
• Utiliser le versionnage pour gérer la documentation du projet
• Sauvegarder et archiver la documentation du projet sur du long terme

• Apprendre les compétences à d’autres et partager les savoirs avec d’autres makers
• Reconnaitre et cultiver les compétences transversales
• Transférer les connaissances, compétences, et méthodes de demande d’information à toutes les disciplines et activités
• Se familiariser avec les compétences de chacun.e
• Connecter ceux.celles qui veulent apprendre quelque chose avec ceux qui ont une expérience pertinente dans ce domaine

• Exprimer la considération de la diversité et de l’inclusion lors de l’identification d’un besoin non satisfait par le marché
• Prendre en compte la durabilité lors de la fabrication en incluant des matériaux issus de l’upcycling et de recyclage
• Examiner les implications éthiques liées à la matérialisation du projet

• Faire preuve d’une compréhension des droits de propriété intellectuelle et des protections
• Peser le pour et le contre de protéger ta création ou d’être dans une logique open-source
• Examiner la viabilité potentielle d’un système propriétaire ou open-source
• Respecter la propriété intellectuelle des autres Makers

• Réaliser une étude de marché assidue concernant les produits concurrents et la capacité de monétisation du projet
• Identifier les composantes du projet qui peuvent être protégés par des brevets, copyrights ou autres
• Prévoir les couts de production industrielle et l’économie d’échelle requise pour avoir un retour sur investissement
• Affiner un plan financier pour pallier n’importe quelle éventualité

(Compétences 1, 2 & 3)

La première compétence de cette liste tient au fait de repérer un défaut dans un domaine particulier. Bien que ça paraisse un peu compliqué, l’idée est de partir du vécu. Le tien ou celui d’un proche. Il se peut que tu décèles que quelque chose pourrait être fait pour améliorer ton quotidien ou le sien. Instinctivement, il se peut que tu bricoles une solution éphémère avec les moyens du bord.

Mais il faut aussi savoir si ce besoin est criant pour d’autres personnes afin de leur fournir une solution qui les aidera et qui pourra te profiter également.

Pour sonder les gens et leurs besoins, tu peux utiliser un Google Form en posant des questions à un public bien ciblé (en le publiant dans des groupes Facebook par exemple). Ça te fournira un tableau avec toutes les réponses et de quoi avoir des données que tu peux organiser comme tu veux, comme en graphiques.

De là, tu pourras creuser et recontacter certaines personnes pour mener une interview plus profonde sur leur besoin réel et pourquoi pas observer leur comportement de visu. Il n’y a pas de meilleures pratiques ici, et tu es relativement libre de relever tes observations de la manière qui te convient le mieux. Mais il serait intéressant de pouvoir filmer les gens (avec l’accord de leur patron, du supérieur direct et de la personne concernée !) qui font l’objet de ton observation pour pouvoir illustrer ton besoin par la suite, par exemple devant des investisseurs.

L’idée est de pouvoir combiner des informations en grand nombre desquelles tu va pouvoir déceler des grandes tendances. Celles-ci vont te guider dans ta recherche et dans le développement de ta solution. Mais il est aussi très important de t’immerger dans le terrain pour pouvoir comprendre en profondeur comment les gens potentiellements intéressés par ta solution travaillent, leurs besoins réels, leurs attentes… En te concentrant sur eux et sur ce que tu peux faire pour eux, tu t’assures que ton produit rencontrera au maximum les besoins réels des gens et non pas ce que tu penses qu’ils ont besoin. Il y parfois un grand écart à ce niveau. Si tu t’en rends compte assez tôt tout va bien, mais si ça arrive à la commercialisation du projet, là c’est plus délicat. Il te faut donc impérativement interroger les présuppositions, les a priori, et autres idées préconçue en allant directement sur le terrain pour parler aux principaux intéressés.

En plus, si tu identifies des personnes vraiment intéressées par la solution que tu apportes, tu pourras les recontacter par la suite pour leur faire tester les premiers prototypes et ainsi avoir un retour très précieux sur la solution que tu proposes.

Une fois les informations du terrain récoltées, classées et archivées, tu va devoir interroger le marché.

Pour ça, tu va bien sûr utiliser des navigateurs web, mais il existe d’autres ressources qui sont parfois plus faciles, notamment pour trouver des pièces déjà existantes. Il s’agit des catalogues des fournisseurs. Ils ne sont pas toujours faciles à trouver mais en faisant le tour des magasins professionnels ou en les demandants aux représentants c’est possible de les trouver ! N’hésite pas à parler avec des professionnels du milieu. Ils sont en général très à l’écoute si ils sentent que ton idée peut vraiment apporter un plus à la profession !

Tu dois également dresser une sorte de cartographie de tes concurrents et connaitre leur particularités pour te permettre de te différencier par rapport à eux. Proposes-tu un produit plus facile, plus complet, moins cher, de meilleure qualité ? Mais attention, il ne s’agit plus de clamer que ton produit est meilleur, tu dois être en mesure de le prouver !

Une des façons les plus faciles de faire de la veille est de créer une alerte sur Google par exemple. Il te suffit d’aller sur Google Alerts et de rentrer les mots clé que tu souhaites surveiller et tu recevras une notification à chaque nouveau résultat publié ! Restreins bien ta recherche pour que ça corresponde au maximum à ce que tu veux vraiment, sinon, tu seras noyé sous des tonnes de notifications qui ne te seront pas forcément utiles…

Tu peux ensuite conserver les liens qui t’intéressent dans Google Keep, une sorte d’agrégateur de contenu semblable à Pinterest mais pas seulement pour des images. Tu peux ainsi installer le plugin Google Keep sur Chrome pour te faciliter la vie.

(Compétences 4 &5)

La sécurité est essentielle ! Elle te permet d’explorer toutes les possibilités en étant protégé des dangers que l’on peut éviter facilement. Garde bien en tête qu’il existe plusieurs types de dangers. Les plus évidents sont liés aux machines elles-mêmes et nous t’encourageons fortement à te renseigner un maximum sur les consignes de sécurité et précautions d’usage. Lire les manuels des machines manuelles permet de comprendre leur fonctionnement et d’anticiper les dangers. Un autre danger lié aux machines apparait lors de leur entretien. Si tu t’en charges toi-même assures-toi de toujours travailler sur une machine non seulement éteinte depuis un certain temps mais aussi débranchée en identifiant les principales sources de blessures.

Il y a également des dangers liés aux matériaux eux-mêmes ! Par exemple, un simple panneau de MDF coupé à la scie peut devenir coupant au niveau des arrêtes. Mais il y a aussi des risques plus élevés. Certain matériaux, en raison de leur composition, se pas du tout compatibles avec certaines machines. Par exemple, le PVC ne peut jamais subir de combustion car elle dégagerait un gaz mortel. Donc, impossible d’usiner du PVC à la laser.

Il est donc d’une importance capitale de faire un travail de recherche avant de te lancer dans un usinage. Il faut adapter les outils au travail que tu fais ainsi qu’au matériau.

Prends soin d’adapter ta tenue au travail que tu fais en incluant les éléments de sécurité personnelle de base. Ne viens jamais dans un atelier sans chaussures fermées par exemple.

Tu peux trouver une liste des symboles de sécurité les plus courants ici. Assure-toi de toujours être au fait de la signification des pictogrammes présents sur ton lieu de travail. Si ils ne sont pas assez explicites pour toi, c’est ton devoir de poser des questions aux personnes de référence pour mieux les comprendre.

D’autre part, acquérir les outils adaptés non seulement au type de travail qu’il doivent effectuer mais aussi au matériau à usiner peut t’éviter pas mal de souci. Tout comme travailler avec les vitesses les plus adéquates, notamment pour les CNC. Pour déterminer les vitesses, il existe une formule mathématique expliquée ici. Bien qu’elle fonctionne la plupart du temps, tu dois faire appel à ton bon sens et à ton expérience (ou celle des autres) pour les affiner.

Tu dois également trouver un tableau qui te présente un classement de l’épaisseur des copeaux en fonction de la matière à usiner et du diamètre de l’outil.

Demande toujours conseil à la personne de référence avant de lancer n’importe quel usinage !

Tu peux retrouver une liste des fournisseurs de la région et des principaux outils ici.

Parfois, le marché n’a pas solutionné certains procédés de fabrication. Ça veut dire qu’en plus de solutionner ton idée principale, il se peut que tu doives trouver comment l’usiner.

Trois grand types de solutions s’offrent à toi.

• Tout créer à partir d’une page blanche. Tu peux tout imaginer toi même et dessiner ta propre machine grâce notamment aux machines de prototypage rapide (CNC, imprimantes 3D, découpeuses laser…)
• Créer une machine avec des composants standardisés qui sont facilement disponibles dans le commerce.
• Hacker une machine déjà existante en la modifiant (en combinant les deux premières solutions) pour qu’elle fasse ce que tu veux.

(Compétences 6 & 7)

Nous avons rassemblé quelques éléments sur le prototypage dans les articles précédants. Ils t’offriront plus détails que nous ne pourrions le faire ici ! Nous t’invitons donc à les parcourir pour découvrir les spécificités des machines, comment et pourquoi prototyper, ainsi que 5 conseils pour mieux prototyper.

Le cahier des charges regroupe tous les points d’attention en matière de contraintes, coûts, dimensions de ton projet. L’idée est ici d’en faire plusieurs. Il y a bien sûr le cahier des charges général qui concerne l’ensemble de ton produit, puis il y a une multitude d’autres cahiers de charges qui correspondent à chaque élément essentiel qui constitue ton produit. Il se peut en effet que chacun d’eux doive répondre à des impératifs spécifiques en matière de résistance (à l’abrasion par exemple). Tu devras alors spécifier tous ces critères dans le cahier des charges.

En général, un cahier des charges se compose de trois grands volets résumés comme ceci:

1. Le projet: cette partie détaille l’idée générale et son contexte ainsi que l’objectif poursuivi par le développement du projet. Ensuite, tu dois spécifier l’ampleur du projet en définissant ton ou tes clients cible. Enfin, il est toujours intéressant de quantifier les choses en incluant un budget et un délais de réalisation.  Une bonne pratique est aussi de se situer par rapport à des concurrents éventuels.
2. Technique: ici, tu rassembles les besoins, contraintes, fonctionnalités que tu as pu récolter lors de tes observations sur le terrain. Tu dois également spécifier tout ce que tu souhaites incorporer au produit pour qu’il corresponde au mieux aux attentes de ton public cible mais également à tes propres attentes au niveau de sa qualité ou des valeurs qui te sont chères (écoresponsabilité, circuit court, …)
3. Livrables: tu dois maintenant détailler de la façon la plus claire possible ce que tu attends en matière de livrable. Il s’agit en général du résultat de la production.

La documentation de ton processus de création de produit est essentielle. Elle te permet de toujours être à jour et de pouvoir communiquer de façon efficace avec ton équipe, les parties prenantes ou tes fournisseurs. Une fois créée, cette documentation doit être archivée et classée pour pouvoir la retrouver facilement.

Il y a une multitude d’outils classiques  sur le cloud pour t’aider dans cette démarche, par exemple Google Drive, Dropbox et autres. Ces options t’offrent la grande liberté de ne pas dépendre de supports matériels. Ainsi si tu perds ta clé usb ou que ton ordinateur plante, ton projet et ses documents seront toujours intacts. Ça peut aussi faciliter ton travail en équipe !

Mais il existe aussi des programmes ou des web apps qui sont spécialisés dans la gestion de documentation technique de projets. Il s’agit de PDM (Product Data Management). Un autre type de programme intéressant est les PLM (Product Lifecycle Management) qui te permettent de voir l’ensemble du processus de développement de ton produit.

Tout aussi intéressantes pour toi, il existe des web apps de gestion de projet. Elles sont regroupées sous la bannière des PMS (Project Management Softwares). Ça te permet d’avoir une vue d’ensemble sur le développement de ton projet, de l’idée à la commercialisation. Certaines solutions dans ce domaine sont très complètes et offrent aussi une gestion documentaire.

Il est très important que tu fasses toi-même des recherches pour savoir ce qui te correspond le mieux. Renseigne-toi et surtout teste les différentes options. Une web app fait beaucoup de bruit dans le domaine pour l’instant. Il s’agit de ClickUp. C’est peut-être un bon point de départ pour te confronter à ce type de services !

Cette documentation peut aussi être utile pour gérer les retours que tu auras du terrain. Tu pourras ainsi les inclure dans les cahiers des charges de certaines parties du produit pour te permettre de savoir précisément quelles sont les raisons derrière tel ou tel changement dans une des versions.

(Compétences 8, 10, 11 & 12)

La liste de compétences dressée ci dessus peut déjà t’apporter une certaine structure. Mais il faut bien sûr l’adapter à ta façon de travailler et à ton produit.

Nous t’avons déjà présenté des outils de gestion de projet pour t’aider à mieux planifier l’ensemble de ton projet. À toi de te servir de la liste et de ce qui a été dit précédemment pour pouvoir développer au mieux cette partie !

La communication est le ciment de toute bonne collaboration. En ces temps un peu bousculés, n’hésite jamais à privilégier la communication orale pour les choses du quotidien. Ça permet à tous de mieux comprendre les choses. Plus que jamais l’empathie est de mise ! Faire suivre un mail ou un message écrit après un appel permet d’ancrer les choses et de t’assurer que rien n’a été ou ne sera oublié.

Il y a plein de systèmes de communication qui fonctionnent à merveille. Les services de Google couvrent aussi ce terrain là si tu veux éviter de multiplier les canaux. Slack est aussi un très bon service de messagerie. C’est cependant une bonne idée de pouvoir créer une cassure entre la vie privée et professionnelle. Nous te conseillons d’éviter au maximum les outils de communication que tu utilises en dehors de travail pour t’aider à faire la part des choses plus facilement.

De plus, la plupart des programmes de gestion de projet peuvent aussi faciliter la communication et la collaboration avec des fonctionnalités intégrées.

Il est très important de pouvoir formuler les choses de façon compréhensibles pour tous. Plus ce que tu dis / écris est simple, plus la communication sera efficace et plus l’ensemble du travail sera facilité.

La documentation rigoureuse, le versionnage, l’archivage et le classement des infos reste une priorité dans le développement de tout projet.